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 Une solitude amère { Libre ;

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Paprika E. Jefferson
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Paprika E. Jefferson


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MessageSujet: Une solitude amère { Libre ;   Une solitude amère { Libre ; EmptyVen 8 Mai - 15:17

Mes mains se congelaient petit à petit. Je les serraient l’une contre l’autre, tentant de les réchauffées. Mes lèvres étaient frigorifiées, elles se gerçaient petit à petit, me faisant souffrir à chaque fois que je voulais ouvrir la bouche pour souffler de l’air chaud sur mes membres engourdis. Je n’avais jamais prévu cette situation. Je me trouvais au lac, dans le monde virtuel. Nous étions en hiver, et sur ce coup là, ils n’y étaient pas allés mollo sur la température.

Cette sensation de vide, et de plein à la fois. J’étais séparée de ma famille, de mes amies, pour un jeux stupide et j’en payait les conséquences. C’est un ami qui m’a fait essayer. Il m’a emmener à ce jeux, et m’y a fait jouer. Je me suis retrouvée prise au piège, comme lorsque la fumée n’arrive pas à sortir d’une pièce, comme englobée par un champ de force invisible. Je m’efforce de rester calme, mais c’est dur.

Flash Back



Paprika __ « Aller papa ! Dépêche toi ! Je vais finir par être en retard ! »

Ce jour là, il pleuvait des cordes. J’avais un rendez-vous important pour un emploi et mon père devait m’emmener jusque là-bas. J’attendais devant la voiture, mon parapluie fixé au dessus de la tête. Lorsque mon père daigna sortir, je priais le ciel. Il ouvrit les portières et je montais vite à l’abri. L’air chaud du chauffage se propagea dans mes vêtements, et un sentiment d’apaisement me fit frissonner. Mon père démarrait pendant que je recevais un message d’Aden. Il disait :

Hey, y’a un tout nouveau jeu réaliste qui vient de sortir, retrouve moi là-bas ! Je compte pas te laisser rater ça !
Je t’aime fort ma belle.
Aden.



Je fermais mon portable, avec Aden, TOUT était magnifique, même une merde de chien sur un trottoir. La journée passait, je faisais mon entretiens d’embauche, puis je mangeais. Le soir, la sonnette retentie. Je m’était habillée avec un jean et un T-shirt, simple mais belle. J’ouvrais la porte et découvris Aden avec un sourire jusqu’au oreilles.

Paprika __ « Cherche pas Aden, je ne viens PAS ! »

Aden __ « Roh aller ! On va bien s’amuser ! »

Paprika __ « Non c’est non ! Je n’y irais pas point barre ! »


Je laissais la porte ouverte et rentrais dans mon salon, Aden fit mine de s’écrouler sur le sol du couloir, comme s’il ne pouvait plus respirer. Il y fut tellement longtemps que je le pris au sérieux, j’allais le voir et lui fit du bouche à bouche. Il éclata de rire et me souris.

Aden __ « Tu vois, je l’aurais eu mon baiser. »

Paprika __ « La prochaine fois : Je te laisse crever ! Rêve pas trop. »

Aden __ « Laisse moi au moins mes fantasmes s’il te plait. »

Paprika __ « Plus jamais ! »


Je le suivais quand même jusqu’à la salle de jeux. Il avait réussi à me dissuader. Là-bas, beaucoup de personne pas très fréquentables se promenaient dans les ruelles sombres. Certains me fixaient comme s’ils avaient vu une espèce rare de gibier. L’un d’eux était torse nu et s’amusait à remonter un téton après l’autre. Frimeur ! Aden lui, n’aimait pas du tout ça. Il me prit par la main et m’emmena plus loin. Arriver dans la salle, je lui lâchais la main prestement, il avait l’air déboussoler, tant pis. Nous entrâmes dans le jeux… C’est tout ce dont je me souvient.

Fin du Flash Back



Sur ma joue roula une perle salée. Je pris une profonde inspiration et souffla. Le paysage était magnifique, bien qu’artificiel. Je regardais autours de moi, personne. J’étais habillée d’un jean, d’un pull et d’une écharpe. Je fermais les yeux. Peut-être que quelqu’un viendrait me remonter le moral… Ou peut-être pas.
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Travis J. Ryan
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MessageSujet: Re: Une solitude amère { Libre ;   Une solitude amère { Libre ; EmptySam 9 Mai - 17:30

J'm'incruste =)

Quand on n’a pas l’habitude de trainer à ne rien faire ce n’est pas toujours facile. Souvent, les idées noires viennent brouiller votre méditation et vous oublier le paysage magnifique qu’il y a devant vous. Vous oubliez qu’après tout, vous êtes en vie. Ce n’est pas le cas de bien des personnes aujourd’hui. Même si vous êtes enfermé dans un endroit pour le moins étrange, vous avez de quoi vous nourrir et vous divertir, enfin presque. Tout semble normal et vous y croyez à peine. Les immeubles, les rues, le lac…Tout était pour le moins étrangement réel. C’était peut-être ce qui déprimé le plus Travis. Ou peut-être le froid glacial de cet hiver incroyablement rude, même pour un univers artificiel.

Avançant d’un pas lent, il avait les mains enfouies dans son manteau qui lui monté jusqu’au menton. Le regard dans le vide, il n’avait qu’une envie trouver quelqu’un pour ne plus se sentir aussi seul. Même s’il n’était pas forcément d’une nature sociable, il arrivait à ce jeune homme d’avoir envie de compagnie. C’était plus dur encore ici. Depuis que son monde avait foutu le camp pour être remplacé par un truc virtuel et surtout sans liens connus. Travis marchait donc au bord des lacs en regardant droit devant lui. De toute façon que pouvait-il voir d’autre que ces foutus lacs ? Peut-être une jeune femme assise, là, non loin du lui. Haussant un sourcil, il lâcha un soupir. Elle devait se retrouver aussi coincée ici. Tout aussi seule que lui. Avançant donc vers elle, il arriva finalement à sa hauteur. Il ne savait pas trop quoi faire, ni dire d’ailleurs. Ce n’était pas dans ses habitudes d’aborder les gens comme ça, surtout les filles.

    « Euh…Salut…J’peux m’asseoir… ? » Demanda timidement Travis.


Regardant attentivement la demoiselle, il se rendit compte qu’elle n’avait pas vraiment l’air bien. Elle essayait tant bien que mal de se réchauffer et une larme perlait sur son visage. Un regard plein de compassion se posa sur la brunette. Travis ne savait que trop bien ce qu’elle ressentait. Elle aussi avait du être séparer de ses proches, de sa vie. Elle avait tout perdu comme ça, sans préavis. Enlevant alors son manteau, il le passa sur les épaules de la jeune femme qu’il ne connaissait pas. Il se retrouvait en pull mais la fraicheur lui faisait plus de bien qu’autre chose. Enfin pour le moment. S’asseyant à côté de la brunette, il lui adressa un sourire qui se voulait plein de quiétude.

    « On ne va pas rester ici longtemps. On devrait s’en sortir. Il ne faut pas se laisser à l’abattement. »


Ca allé bien de dire ça, surtout venant de lui. Lui qui chaque jour aller au checkpoint pour entrer son pseudo et son mot de passe pour voir si tout n’était qu’un foutu rêve. Mais à chaque fois rien ne se passait. Il était toujours dans l’atria. En tout qu’à, il était sur d’une chose. Quand il sortirait d’ici, il irait casser la gueule à ce pourri d’inventeur pas capable de foutre un antivirus sur son jeu. Enfin en attendant, il était là, assis à côté d’une fille qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam et qu’il cherchait à consoler malgré ses propres sentiments et ses propres peurs. Il savait ses paroles veines et franchement ni croyait pas lui-même. Mais il était assez convainquant et c’était le principal. Comme tout le monde en hiver, il n’était pas du genre très joyeux. Comme tout le monde il avait ses moments de déprimes. Et là plus particulièrement. Après tout, il ne savait pas quand il pourrait revoir sa petite sœur.
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Paprika E. Jefferson
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MessageSujet: Re: Une solitude amère { Libre ;   Une solitude amère { Libre ; EmptySam 9 Mai - 18:59

    Mes cheveux venaient me fouetter le visage avec hargne. L’air frai s’abattait sur moi tel un ouragan. Les lacs étaient presque glacés, le ciel était recouvert d’une épaisse couche de coton grisâtre. Au loin, j’aperçu une silhouette. De loin, cela ressemblait à un homme. C’était un homme. Il s’approcha de moi. Son visage avait l’air fermer. Il me demanda s’il pouvait s’assoir, et rien qu’à son hésitation j’en déduisit que : Soit il était gay, soit il savait pas s’y faire avec les femmes. Je penchais plutôt pour la deuxième option, car la première aurait été du gâchis.

    Je me sentait dénuée de toute aspiration vitale, comme si l’on m’empêchait de faire ce que bon me semblait. Dans une bulle que je n’ai jamais demander, j’attendais le retour de la vrai vie, des bonnes choses, de la joie de tout les jours. Revoir mon père, mes amis… J’inspirais une seconde fois, me laissant submergée par mes émotions.

    Le jeune homme en face de moi était grand, coiffé en pétard, mais cela lui sciait bien au teint. Il était pas mal dans son genre, les traits de son visage étaient marqués et son sourire venait fendre cette froideur aperçue un peut plus tôt.

    Il me déposa galantement sa veste sur les épaules. «  Merci… Je suis en train de me congelée, réussis-je à souffler. » Je réajustais la veste sur mes épaules et souris au Jeune homme. Je me rappelais que j’avais mis deux paires de gants dans mon sac à main, je les sortis et en tendis une paire au jeune homme. «  Prenez au moins ça, c’est rien, mais ça réchauffe. » Il attrapa la paire pendant que je mettais mes gants soigneusement.

    «  Vous savez, j’ai souvent penser à la mort et je peux vous dire que, quoi que vous fassiez, vous ne mourrez pas ici. C’est votre âme, mais votre corps n’a rien. Une âme n’est vouée à l’échec que quand son corps est défaillant. J’ai déjà fait l’expérience plusieurs fois, vous arrivez un peu tardivement. » J’eu un léger sourire qui me fit souffrir, mes gerçures se fendirent et un grosse perle de sang tomba du creux de ma bouche. « Zut alors ! » Elle alla coloré la rosée du matin blanche, en une grosse tache rouge, avec difficulté, je pris un mouchoir dans mon sac et essuya ma bouche et mon menton. Une fois le sang stoppé, je me présentais. «  Je m’appelle Paprika, Paprika Ellen Jefferson. Appelez moi comme bon vous semble. »

    L’on croit que la souffrance, tout le monde la connait. C’est faux. On ne connait la souffrance que quand on est confrontée aux larmes, au suicide et à la dépression. Pas avant. Les goutes salées qui tombent de vos orbites lorsque vous perdez votre premier amour n’est pas de la souffrance, c’est juste une façon d’exprimer son mécontentement en se faisant plaindre. Ne me dites pas que vous connaissez la souffrance, vous n’êtes pas à ma place.
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MessageSujet: Re: Une solitude amère { Libre ;   Une solitude amère { Libre ; EmptyDim 10 Mai - 12:12

La demoiselle remercia Travis assis à présent à côté de celle-ci. Elle avait l’air vraiment mal en point. C’était ce qui déstabilisé le plus le jeune homme. D’accord, lui aussi était triste, d’accord lui aussi parfois déprimait. Mais pourquoi rester là, dans le froid, en se sachant peu à peu refroidir et congeler. C’était aussi étrange. Après tout, même si la vie n’était pas réelle, elle était toujours là. Voir la jeune femme ainsi donna comme un coup de fouet à Travis qui se rendit compte à quel point certaine personne pouvait déprimer, jusqu’à en vouloir mourir…

Elle lui tendit alors une paire de gant. Affichant un léger sourire, il lui prit en lâchant un inaudible merci. Il garda ses yeux rivés sur les gants pendant un instant. Comme ci le froid l’empêchait de réfléchir correctement. Il finit par les enfiler alors que la brunette reprenait la parole. La mort…Elle commença à parler de la mort. C’était horrible ce qu’elle disait, ce qu’elle pensait. Mais Travis n’y croyait pas à ses histoires d’âmes. Il la laissa cependant parler, sans dire un mot. Il la regardait, patient, compatissant, sachant ce qu’elle pouvait un minimum ressentir. Une brise légère vint le caresser. Un frisson le parcouru et il regretta de ne pas avoir mis un pull plus chaud. Mais la politesse et sa galanterie l’empêcha de broncher. Approchant ses mains de sa bouche il souffla dedans. Une petite brume apparu et vint réchauffer les mains du jeune homme.

La jeune femme lâcha un zut qui fit lever les yeux à Travis. Il aperçu une goutte de sang sur le menton de la demoiselle. Ca devait faire un bon moment qu’elle était ici. Il faudrait bien qu’elle réagisse un jour ou l’autre si elle ne voulait pas tomber en léthargie complète. Travis examina chacun de ses mouvements. Elle prit un mouchoir et essuya l’hémoglobine en trop. Puis elle se présenta sous le nom de Paprika. Joli prénom…

    « Travis Ryan. » Répliqua le jeune homme d’une voix un peu plus solide que ses premières paroles.


La tout de suite, il ne savait pas trop quoi faire. Après tout, elle ne voudrait peut-être pas rester là, toute sa vie. Et puis cette histoire morbide gênait quelque peu Travis qui tourna son visage vers les lacs.

    « Je ne suis pas d’accord avec au sujet de l’âme et tout ce qui va avec. Vous avez déjà vu le film Matrix ? Il n’est pas question d’âme mais simplement de neurotransmetteurs. Ici c’est la même chose je crois. Vous savez, tout ce qu’on vit, ce n’est pas notre fantôme ou notre âme. Ce sont nos neurones qui sont stimulés. Ils inventent ce monde et nous sommes prisonniers de notre inconscient. Je crois que votre corps ressent ce que vous lui faîtes subir. Je crois que si vous vous suicider, il en prend un coup et n’hésite pas à se détériorer sans que vous ne le voyez. Prenez soin de vous, même ici. Parce que quand on partira d’ici, il serait dommage quand vous vous trouviez avec des séquelles. Comment prendrez-vous votre petit ami dans vos bras ? Vos parents ? »


Travis avait dit ça sur le ton de la conversation. Il ne savait pas comment elle allait réagir. Mais il ne fallait pas qu’elle se morfonde aussi. Ce n’était pas bien pour son moral. Se levant soudainement, l se tourna vers elle et lui tendit la main.

    « Allons faire un tour, il n’est pas bien se rester sans bouger. » Lança-t-il en attendant qu’elle veuille bien le suivre.
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MessageSujet: Re: Une solitude amère { Libre ;   Une solitude amère { Libre ; EmptyDim 10 Mai - 16:29

    Les paroles de Travis me réconfortèrent. Comme si l’on venait de me redonner l’espoir que j’attendais. Je levais les yeux vers le ciel, la brume épaisse persistait. «  Vous avez certainement raison. » Je ne pouvais pas lui donner tord. Je repensais à mon père. Oui, il me manquait, oui, j’aimerais le séré dans mes bras. Mais fallait-il encore que l’on sorte de là.

    J’accepta sa main avec enthousiasme, cela faisait longtemps, trop longtemps que j’étais solitaire. Nous contournâmes le grand lac. J’observais tout les moindres détails. L’eau était recouverte d’une fine couche de glace, on aurait pu lancer une pierre dessus et la faire volée en éclats. Les arbres autours de nous étaient presque tous des pains ou des chênes. Il y avait par-ci par-là quelques sol pleureurs. Un doux vent vint m’effleurer le visage. Je vis Travis frissonner. J’hottais la veste qu’il m’avait poser sur les épaules et la lui posa sur le dos. Il tourna son visage vers moi. Je lui souris. «  N’allez pas prendre froid. » Je détournais la tête, j’étais une fille sympa mais trop timide.

    Une fois arrivé à l’opposer de notre lieu de départ, je m’arrêtais. Lorsque l’amour fait battre votre cœur à la chamade, que votre estomac se noue, c’est qu’il est très intense et susceptible de faire beaucoup de mal. C’était mon cas. J’aimais mon père, être loin de lui m’était très difficile à vivre. Avant, je me plaignais de l’avoir sur le dos, toujours à me dire ce que je dois faire. Maintenant j’aimerais tellement l’avoir encore une fois de plus sur le dos. Juste pour ressentir cette sensation qu’est d’entendre sa voix. Petite, voyant le caractère de mon père, je croyais que je ne pourrais jamais l’aimer. Je me trompais. Et aujourd’hui je paye les frais d’une souffrance insoutenable. Un poignard dans le dos… Un dernier baiser.

    Je sortis de mes pensées. «  Vous faisiez quoi par ici ? » Je lui souris. Ok, je me forçais à sourire, mais ça c’était parce que j’étais pas bien, sinon je lui aurais souris volontiers.


[désolée, j'avais pas beaucoup d'idées :/... ]
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